Petit récapitulatif des commandes GIT pour éviter de hurler à la mort

Création d’un repository

Afin de gérer les versions du code source et assurer le partage entre développeurs, il faut disposer d’un repository.

Côté serveur

Ici, rien de compliqué puisque la création du repository est faite en deux étapes:

  1. création d’un dossier <folder_Server> pour stocker les fichiers git puis s’y placer (mkdir + cd)
  2. initialisation du repository: il suffit d’exécuter la commande git init --bare.

Et c’est tout.

Côté client

Là c’est plus long et on oublie facilement une étape:

  1. créer un dossier pour le projet et s’y placer (mkdir + cd)
  2. faire un git init
  3. changer le mode de réconciliation du pull: git config pull.rebase false
  4. puis passer git add . (Note: si le dossier est vide, impossible de continuer la configuration!)
  5. faire le premier commit: git commit -m "message de commit"
  6. établir le lien avec le serveur: git remote add <*projet*> ssh://<*server*>/<*folder_Server*>
  7. envoyer son code: git push <*projet*> master

Récupérer le code

Rien de plus facile. Une fois dans le dossier du projet, un petit git pull <*projet*> <*branche*> et hop! le projet est à jour.

Envoyer son code

Cette fois, il y a 3 étapes:

  1. git add *
  2. git commit -m "message"
  3. git pull <*projet*>

Conclusion

Une fois qu’on a ces commandes sous la main (merci Captain Obivious), Git permet de gérer facilement le versionning de ses projets. Après, comme tous les SCM (Source Control Management), c’est la gestion des branches (et leur fusion) qui pose le plus de problèmes.

Note